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je partage cette belle histoire
avec vous
mes amies et amis
Voici l’une des histoires les plus adorables que nous n’avons jamais eues. Un homme veut essayer sa main au jardinage. Il a donc acheté une pelle, des gants, et un grand sac de paillis. Mais, quand il ouvre le sac, quelque chose d’inattendue en est tombée : un bébé. Plus spécifiquement, un bébé écureuil.
L’homme a appelé le petit orphelin “Zip”. À peine vivant, l’homme décide de l’adopter et de l’élever.
Zip se développe fantastiquement. Après quelques semaines, les premiers signes de fourrures commencent à apparaître.
Deux semaines plus tard, le petit bonhomme ressemble un peu plus à un écureuil. Mais Zip est toujours très faible et doit être manipulé avec précaution.
Après trois mois, sa queue est complètement couverte de fourrure. Chaque jour, il devient plus fort et plus actif.
Lors des 4ème et 5ème semaines, ses yeux s’ouvrent. Il est impossiblement mignon.
À 6 semaines, il s’accroche déjà tendrement à son père. Il n’est toujours pas assez fort pour pouvoir se promener tout seul.
En attendant, Zip est devenu un petit mais très respectable jeune écureuil.
Et il aime manger.
Zip a déjà découvert son plat préféré : les myrtilles.
Zip est maintenant plutôt mobile et développe sa propre personnalité. Il est visiblement très chanceux !
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bonjour !!!
jolie petite histoire
comme je les aime....
Hommage à Titi
Cette histoire est vraie :
Quand j'étais enfant, maman avait l'habitude de sauver des petits oiseaux tombés du nid
Avec tendresse, elle les soignait jusqu'à ce qu'ils reprennent des forces et puis les laisser partir.
Un jour un de ses petits protégés est resté pour vivre sa vie en toute liberté dans la maison
jusqu'à son dernier jour. Par ce poème je rends hommage à cet oisillon qui nous a donné
du grand bonheur et que nous avions prénommé TitiPetit oiseau des villes, tu es tombé du nid,
Ta bienfaitrice, sous l’arbre te ramassa.
Tu étais tout ébouriffé, tout groggy,
Au creux de sa main, elle te cajola.
Sur un douillet coton tout immaculé,
Elle t’y déposa, tes yeux étaient mi-clos.
Dans ton bec, elle mit pour te soigner,
Une bouillie de pain et de lait chaud.
Minuscule volatile, tu t’es assoupi,
Gentiment dans ton lit, bien rassasié.
Comme un enfant, elle t’a admis,
Dans sa demeure pour te protéger.
Le temps a passé, elle t’a apprivoisé.
Tu étais libre, aucune cage pour toi.
Les portes et fenêtres entrebâillées,
Tu as préféré rester sous son toit.
Inventant des jeux avec la tourterelle,
Autre locataire recueillie par maman,
Tu attrapais les plumes de ses ailes,
Ta vie était faite de bons moments.
Le soir, perché sur l’épaule de papa,
On aurait dit que tu regardais la télé.
En compagnon de soirée, sympa,
Tu fixais l’écran sans bouger,
Mais un jour, on t’a cherché partout,
Derrière une porte, tu étais couché.
Nous étions sens dessus dessous,
Ton petit corps était inanimé.
Dans ses mains Maman t’a pris,
Tout doucement, elle t’a caressé.
Ton âme s’était envolée au paradis,
Depuis ce jour, tu t’es mis à chanter.
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