• bonjour !!!

    il fait trés chaud !!!!

    NOUS SOMMES EN JUILLET

    juillet

    bon

    2225w6nz

     Juillet

    Il vient d’arriver, ce fichu mois de Juillet

    Avec son cortège de journées ensoleillées

    Et, de longues soirées, où la chaleur

    Omniprésente, nous donne des envies d’ailleurs.

    Le moindre souffle d’air amène le bien-être

    Et, pour l’emprisonner, on croise fenêtres

    Et volets, vivant dans la douce pénombre

    Juste égayée des raies de lumière et d’ombres

    Que créent les persiennes ajourées

    Et si certains, arrivent à aimer et savourer

    Ces longues heures qui s’étirent surchauffées,

    Je préfère de loin l’automne ébouriffé

    Avec ses nuits fraiches et ses coups de vents

    Laissant la plage et la chaleur aux estivants.

    Dominique SAGNA

    PS : moi j’aime l’été, l’automne aussi, mais je préfère de loin l’été…

    juillet


    16 commentaires
  • bonjour !!!

    je vous souhaite 

    une trés bonne semaine

    bonne semaine

    Histoire très touchante à lire attentivement svp !!!
    Il y avait une fille aveugle qui détestait tout, juste parce qu’elle était aveugle. Elle détestait tout le monde, sauf son tendre ami. Il était toujours là pour elle. Elle disait que si elle pouvait seulement le voir, elle l’épouserait.

    Un jour, quelqu’un lui fit don d’une paire d’yeux pour lui permettre de retrouver la vue et de voir le monde autour d’elle, y compris son ami. Son ami lui demanda, « maintenant que tu peux voir le monde, veux tu m’épouser » ? La fille fut choquée de voir que son ami était aveugle, et refusa de l’épouser ainsi. Son ami s’éloigna en pleurs avec un cœur meurtri et lui écrivit plus tard une lettre : « Occupes toi bien de mes chers yeux ».

    LEÇON DE MORALE : Voici la manière dont le cerveau humain change avec les circonstances. On garde peu de souvenirs de ce qu’était notre vie avant de changer, et ceux qui toujours, ont été là pour nous, même dans les situations les plus pénibles.La vie est un choix :
    -Avant de dire des mots pour heurter quelqu’un, penser a ceux qui ne peuvent pas parler
    -Avant de vous plaindre que la nourriture n’est pas bonne, pensez a ceux qui n’ont rien a manger.
    -Avant de vous plaindre de la vie, pensez a ceux qui nous ont quitté trop tôt.
    -Avant de vous plaindre de votre travail, pensez a ceux qui n’ont pas de travail.
    -Et quand vous êtes profondément déprimé, souriez et remerciez d’être en vie.
    LA VIE EST UN CADEAU.. VIVEZ, PROFITEZ, CÉLÉBREZ et SOYEZ HEUREUX

     


    22 commentaires
  • coucou !!!

    un petit moment 

    pour vous souhaiter

    bon dimanche

    coucou

    coucou

    coucou

    coucou

     

    coucou

    a demain 

    gros bisous 

     


    17 commentaires
  • bonjour !!!

    je vous souhaite 

    mes amies et amis 

    un bon wek-end 

    a lundi 

    gros bisous 

    bonne soirée


    20 commentaires
  • belle et triste histoire

     

    «J’ai la hantise pour mes animaux. Marguerite, je n’ose plus la mettre en pâture. Quand je ne suis pas là, je suis obligée de l’enfermer. On n’a pas d’autres solutions ».

    Fanny vit dans la crainte, depuis quelque temps, qu’il n’arrive quelque chose à ses animaux. Cette jeune fille, du haut de ses 17 ans, voue une véritable passion pour les vaches, les chevaux… et pour toutes les autres espèces en général.

    Après ses trois chevaux, sa chèvre, ses trois chiens, ses dix chats, ses quatre rats et son hamster, qu’elle a quasiment tous récupérés et sauvés d’une mort certaine, elle a acheté l’an dernier une petite vache vosgienne. « Elle avait dix jours quand je l’ai eue. Je l’ai élevée au biberon. Du coup, elle est très attachée à nous. C’est un vrai toutou. » Un toutou de 200 kg, tout de même, mais adorable, affectueuse et joueuse.

    Tout ce petit monde habite à Petitmagny. Une maison avec une grange et une pâture, sur environ 3 hectares. De quoi être heureux !

    Grillage coupé

    Sauf que, depuis que la famille s’est installée, elle n’a connu que des soucis. « Nos animaux étaient installés dans un terrain bien clôturé, mais ils se retrouvaient régulièrement dehors. On se posait des questions. On a investi dans un grillage, des fils électriques. On a mis des cadenas à toutes les portes. Je ne compte plus les amendes qu’on a eues pour divagation. Ça s’est un peu calmé, puis ça a repris. On a retrouvé des cadenas cassés, le grillage coupé. On a d’ailleurs prévenu la gendarmerie à l’époque. Le voisinage se plaint du bruit que font les animaux. J’ai dû demander l’autorisation au maire de mettre une cloche à Marguerite. Le voisinage se plaint également des odeurs. J’ai un tas de fumier de paille, caché derrière une haie ».

    La jeune fille, au caractère bien affirmé, ne comprend ce comportement. « Ces gens viennent de la ville pour habiter à la campagne, et ne supportent rien. Quoi de plus normal que de trouver des animaux à la campagne ? »

    Elle a également reçu des visites de la SPA, de la direction des services vétérinaires, du service des fraudes, parce qu’on l’avait accusée de faire du trafic d’animaux…

    Cette méchanceté, Fanny la digère plutôt mal. Mais la semaine dernière, l’altercation entre elle et son voisin a achevé de la dégoûter. Alors qu’elle était « en ville », elle a reçu un coup de fil la prévenant que sa génisse s’était sauvée. Quand elle est rentrée, elle a retrouvé Marguerite en train de brouter tranquillement dans la pâture juste à côté de la sienne. Mais en allant la récupérer, Fanny raconte que le voisin est venu vers elle, furieux. Le ton est monté, et les coups sont partis. L’ami de la jeune fille, voulant s’interposer, se serait retrouvé à terre, aurait aussi été frappé. Des menaces à l’encontre de Fanny, et visant aussi ses animaux, auraient été proférées. Le couple a déposé une plainte.

    Mais en attendant, la jeune fille qui, en plus de travailler dans une ferme, en Alsace, suit des cours par correspondance pour passer un bac pro conduite et gestion de l’exploitation agricole, a peur. Peur de trouver ses animaux blessés ou morts. Et envisage de quitter le village. « On n’attend qu’une chose : trouver un terrain ailleurs et quitter Petitmagny. Ce n’est pas normal de vivre dans la crainte ».


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