• bonne semaine !!!

    mes amies et amis

    la magie de noél

    belle boutique de noél

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    joli conte avant noél

    trouver sur le net

     

    ton amie frizou sait bien que tu penses à Noël 
    et que tu dois compter les dodos tout comme elle alors tu vas pouvoir 
    lire des beaux contes pour t'aider à patienter .

    Ton amie Frizou te dis qu'elle t'aime beaucoup ,beaucoup ,beaucoup
    et te fait un gros bisou sur le bout du nez ,évidemment si tu n'as pas la grippe 
    car elle ne veut pas être malade ! 
    D'ailleurs c'est pour ça qu'il faut toujours bien se moucher et ne pas renifler 
    pour guérir vite et ne pas donner la grippe aux autres. 
    Il est aussi très important de se laver les mains fréquemment et
    lorsque l'on tousse suivre les bons conseils que l'on te donne.

    Le Père Noël a parfois les yeux brouillés par les larmes, parfois son sourire se cache sous sa longue barbe mais le Père Noël habitera toujours le coeur des enfants et des grands qui réussissent à garder la magie de Noël.


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  • coucou !!!

    mes amies et amis 

    aujourd'hui vendredi 

    je vous présente le chouchou 

    de mon jardin 

    tout les matins,il vient me dire 

    bonjour !!!!

    je vous souhaite un trés bon week-end 

    a lundi

    chouchou de mon coeur

    chouchou de mon coeur

    chouchou de mon coeur


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  •  

    Le bonhomme de pain d'épice 

    Une vieille femme était en train de faire du pain d'épices. Comme il lui restait de la pâte, elle façonna un petit bonhomme. Avec des raisins secs, elle dessina des yeux, un nez, un grand sourire et les boutons de son habit. Puis elle le mit à cuire. Au bout d'un moment, elle entendit tambouriner à la porte du four...
    Le Bonhomme de pain d'épices s'échappe...
    Elle l'ouvrit et, à sa grande surprise, le petit bonhomme de pain d'épices en sortit d'un bond. Elle voulut l'attraper, mais il lui échappa en criant :
    - " Cours, cours, aussi vite que tu peux ! Tu ne m'attraperas pas, je suis le bonhomme de pain d'épice."

    Elle le poursuivit dans le jardin où son mari travaillait. Il posa sa bêche et voulut aussi le saisir, mais quand le bonhomme de pain d'épice passa devant lui, il lui lança :
    - " Cours, cours, aussi vite que tu peux ! Tu ne m'attraperas pas, je suis le bonhomme de pain d'épice."

    En arrivant sur la route, il rencontra une vache. La vache l'appela, mais le bonhomme de pain d'épices cria par-dessus son épaule : - " J'ai échappé à une vieille femme. J'ai échappé à un vieil homme. Cours, cours, aussi vite que tu peux ! Tu ne m'attraperas pas, je suis le bonhomme de pain d'épice."

    La vache se mit à le poursuivre, suivie du vieux et de la vieille. Le bonhomme de pain d'épices rencontra un cheval.
    - "Arrête-toi dit le cheval, je voudrais te manger."
    Mais le bonhomme de pain d'épice répondit :
    - " J'ai échappé à une vieille femme. J'ai échappé à un vieil homme. J'ai échappé à une vache. Cours, cours, aussi vite que tu peux ! Tu ne m'attraperas pas, je suis le bonhomme de pain d'épice."

    Il rencontra des paysans qui rentraient du foin. Ils le regardèrent tous passer. Et le bonhomme de pain d'épice leur cria :
    - " Cours, cours, aussi vite que tu peux ! Vous ne m'attraperez pas, je suis le bonhomme de pain d'épice."
    Les paysans rejoignirent le cortège, derrière la vieille femme, le vieil homme, la vache et le cheval.

    Puis le bonhomme de pain d'épice rencontra un renard et lui dit :
    - " Cours, cours, aussi vite que tu peux ! Tu ne m'attraperas pas, je suis le bonhomme de pain d'épice." Alors le rusé renard lui répondit :
    - " Mais je ne veux pas t'attraper !"

    Le Bonhomme de pain d'épice cours cours...Après avoir dépassé le renard, le bonhomme de pain d'épice dut s'arrêter devant une rivière large et profonde.

    Le renard vit la vieille femme, le vieil homme, la vache, le cheval et les paysans qui poursuivaient le bonhomme de pain d'épice, alors il lui proposa :
    - " Monte sur mon dos, je te fais traverser la rivière."

    Le bonhomme de pain d'épice monta sur le dos du renard qui commença à nager. Au milieu de la rivière, là où l'eau est profonde, le renard ordonna :
    - " Monte sur ma tête, bonhomme de pain d'épice ou tu vas être mouillé."
    Le bonhomme de pain d'épice se mit debout sur la tête du renard.

    Comme le courant était rapide, le renard lui dit :
    - " Monte plutôt sur mon museau. Je ne veux pas que tu te noies."
    Le bonhomme de pain d'épice glissa sur le museau du renard.

    Mais quand ils arrivèrent de l'autre côté de la rivière, sains et saufs, le renard brusquement ouvrit la gueule et, GLOUP ! happa le bonhomme de pain d'épice. On n'en a plus jamais entendu parler depuis...

     


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  • belle hisoire

    A cette époque, la terre était recouverte de vastes forêts sans fin, certaines étaient inextricables et les voyageurs égarés retrouvaient rarement leur chemin.

    En ces temps là, les loups vivaient nombreux, ils formaient des clans très hiérarchisés, intelligents, forts et courageux, ils n’avaient d’autres ennemis que les hommes.

    Les hommes quant à eux nourrissaient une haine profonde envers les loups et lorsqu’ils se trouvaient face à face, il était rare que tous deux survivent à cette rencontre.

    A peine l’enfant des hommes marchait, qu’il avait appris à haïr le loup.

    Chaque décennie écoulée, les loups, uniquement les chefs de clan et quelques élus entreprenaient le grand voyage. De toutes les régions du Nord de l’hémisphère, ils convergeaient en un même lieu, une vaste clairière au centre d’une forêt profonde et noire, quelque part dans un pays que l’on appellera plus tard la France.

    Certains venaient de très loin, c’était le grand rassemblement au cours duquel les loups mâles et femelles encore solitaires allaient sceller une nouvelle alliance, ils venaient là trouver le compagnon d’une vie.

    Les chefs partageaient leur savoir et les jeunes bâtissaient leur descendance.

    Cette année là, Loup blanc, chef de clan encore solitaire venait pour y trouver une compagne, chemin faisant il pensait au lourd secret qui était le sien.

    Quelques mois plus tôt, au cours d’une chasse, il avait découvert une jeune femme évanouie dans la neige fraîche. Il s’était approché d’elle doucement, avec méfiance comme on lui avait toujours appris, de longues minutes s’étaient écoulées ainsi, quand soudainement la jeune femme bougea, elle entrouvrit les yeux et loin d’être terrifiée par la vue du loup, elle lui sourit.

    czechoslovakian_wolfdog_pair dans LOUPElle tendit une main et caressa la fourrure de l’animal, celui-ci accueillit cette marque d’affection d’abord avec surprise puis bientôt avec plaisir. Sans savoir qu’il pouvait la comprendre, elle lui expliqua sa peur lorsqu’elle s’était vue égarée dans la forêt, en entendant du bruit, elle s’était mise à courir sans voir une grosse branche qui barrait le chemin, elle avait trébuché lourdement et s’était évanouie.

    Tout en lui parlant elle n’avait cessé de le caresser. Elle le regarda droit dans les yeux et lui demanda de l’emmener jusqu’au village, seule dit-elle, je ne retrouverai jamais ma route.

    Il s’exécuta, il la reconduisit jusqu’à l’entrée du village et longtemps il resta là, à la regarder partir, même lorsqu’il ne pouvait plus la voir.

    De retour dans la tanière du clan, il comprit qu’il ne serait plus jamais le même, jamais plus il ne verrait les hommes de la même manière.

    Il se prit même à revenir guetter l’entrée du village dans l’espoir de l’apercevoir.

    A de nombreux kilomètres de là, une louve et son frère cheminaient au côté d’un chef de clan, ils faisaient eux aussi route vers le grand rassemblement.

    La louve Calypsone venait y faire alliance, elle l’espérait depuis longtemps mais depuis l’été dernier, elle était habitée par la peur, son chemin avait croisé celui d’un gentilhomme blessé, au lieu de le dénoncer à la meute comme il se doit, elle l’avait caché, recouvert de feuilles et de branchages et l’avait nourri jusqu’à ce qu’il puisse se débrouiller seul.

    L’homme n’avait jamais manifesté la moindre crainte face à la louve, au contraire il aimait à lui parler, à la caresser, il lui faisait des confidences comme il l’aurait fait à un des ses semblables. Il rêvait d’un monde où les hommes et les loups feraient la paix, un monde où la haine de l’autre n’existerait plus.

    Un soir alors que Calypsone venait le retrouver, il était parti en laissant sur le sol son écharpe, un peu de son odeur qu’elle prit plaisir à renifler.

    Souvent, depuis lors, elle venait s’allonger au pied de l’arbre qui avait été le témoin de leur amitié.

    La clairière sacrée était prête, tous les participants s’étaient rassemblés en plusieurs cercles, au milieu se trouvaient les solitaires, il était de coutume de s’observer et lorsqu’un loup mâle trouvait une louve à sa convenance, il s’avançait au milieu du cercle, puis de là en rampant il se dirigeait vers l’élue.

    Ce soir sacré, lorsque Calypsone aperçu Loup blanc, elle reconnut immédiatement le compagnon qui habitait ses rêves, celui qu’elle avait toujours attendu.

    Aussi, bousculant toutes les règles, elle s’avança vers lui, sans crainte, le regardant au fond de ses prunelles dorées.

    Loup blanc, comme s’il avait toujours su ce qui allait arriver, accepta Calypsone comme compagne sans se formaliser de la façon cavalière qu’elle avait utilisée pour arriver à ses fins.

    La nuit même leur union fût scellée. Le grand sage donna son accord après avoir vérifié qu’ils n’appartenaient pas au même clan et que leurs deux statures s’harmonisaient entre elles.

    La louve fit ses adieux au clan qui l’avait vu grandir et se prépara au voyage de retour.

    Leur périple fût sans histoire.

    Inconsciemment ou pas, Loup blanc construisit leur gîte non loin de l’endroit où il avait découvert la jeune femme l’hiver dernier.

    Au printemps de l’année qui suivit, Calypsone donna naissance à deux louveteaux, un mâle et une femelle. Avant de mettre bât, elle avait avoué à Loup blanc le parjure qu’elle avait fait à sa race en cachant et en nourrissant un humain. Loup blanc lui avait à son tour confié son secret et depuis lors ils ne formaient plus qu’un.

    Une nuit, ils furent réveillés par des cris qui les fit sortir de leur tanière, ils aperçurent au loin une fumée épaisse, un incendie embrasait le ciel. Les cris durèrent longtemps et au petit jour une odeur âcre parvint jusqu’à eux.

    La magie des loups en ces temps là était grande et leur haine des humains encore plus grande, plusieurs clans s’étaient unis pour détruire un village qui avait tué plusieurs des leurs. Ceux qui n’avaient pas péris dans l’incendie, furent dévorés pas les loups.

    Loup blanc rassembla sa compagne et ses petits et décida de s’éloigner à tout jamais de ces contrées barbares, il voulait un monde différent pour sa descendance.

    telechargementAu même moment, un homme et une femme, seuls survivants du massacre fuyaient eux aussi l’horreur de la nuit.

    La légende dit que la route des loups croisa celle des humains

    Qu’il reconnu la jeune femme qu’il avait secouru de même que Calypsonne reconnu l’homme comme étant celui qu’elle avait caché dans les bois.

    On dit aussi qu’ils firent chemin ensemble jusqu’à une grande clairière.

    Uniquement avec leur courage, ils bâtirent un monde nouveau où tous ceux qui vivaient sans haine furent les bienvenus. Les humains comme les loups…

    Loup blanc fût à l’origine d’une nouvelle race de loups, plus proche de l’homme et qui bien des années plus tard donnera naissance à cette race de loup civilisé que l’on appellera le Chien


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  • bonjour !!!

    bonne semaine !!!

    la poinsetta

    Poinsettia

     

    Le poinsettia est une plante très populaire durant le temps des fêtes.

    Quelle légende de Noël y est-elle attachée et comment a-t-il trouvé le chemin de nos décors du temps des fêtes?

    Le poinsettia (Euphorbia pulcherrima) est un arbuste qui appartient à la famille des Euphorbiacées. Il est originaire du sud du Mexique et d'Amérique centrale où il peut atteindre plus de trois mètres de hauteur. Bien qu'il n'atteigne pas de telles dimensions dans nos maisons, il n'en demeure pas moins la plus populaire de toutes nos plantes décoratives durant la période des fêtes.

    Dans son habitat, le poinsettia fleurit naturellement autour de Noël. Les cultivars ornementaux peuvent toutefois fleurir un peu plus tôt.

    Les parties vivement colorées du poinsettia ne sont pas des fleurs. Ce sont des bractées, qui sont des feuilles modifiées entourant les vraies fleurs, minuscules, jaunes et peu spectaculaires. Traditionnellement, les poinsettias aux bractées rouges dominaient le marché. Les nombreux cultivars maintenant disponibles offrent aux consommateurs une gamme de couleurs et de formes comme des bractées roses, blanc crème, jaunes, rouge-pourpre, marbrées, tachetées ou même ondulées.

    La période communément appelée « floraison » correspond en fait à la période de coloration des bractées. Elle peut durer plus de quatre mois si on procure au poinsettia les conditions adéquates alors que les vraies fleurs sont de courte durée.

    Les feuilles, plus ou moins lobées et dentées, d'un vert profond, présentent une forme vaguement triangulaire; celles-ci mesurent 10 à 15 cm de long et 5 à 10 cm de large et se terminent par une pointe effilée. Les nervures légèrement plus pâles découpent la feuille. Les petites fleurs d'un jaune verdâtre sont réunies au centre d'un bouquet de 10 à 20 bractées parées de coloris éclatants.


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