• bonjour !!!

    j'ai eu le plaisir de voir 

    une trés belle buse

    dans mon jardin

    les buses

    les buses ont un bec pour dépécer 

    leurs proies

    mais le bec sert aussi a arracher

    les plumes et le pelage de celles-ci

    elles capturent leurs proies avec leurs serres

    les buses

    les buses sont des animaux avec des ailes et 

    une queue large

    ce sont des planeurs

    les buses

    les buses qui sont prétes a pondre

    tournent au dessus des bois

    elles vont pondre en poussant des sortes 

    de miaulements

    les buses

    elle mange 

    (rongeurs, des oiseaux,vipéres et couleuvres)

    son nid est fait dans les arbres 

    avec des écorces et feuilles

    les buses

    les deux premiéres photos 

    sont de moi 

    bon mardi 


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  • bonne semaine a vous 

    mes amies et amis

    la chouette effraie

    la chouette effraie

    la chouette effraie

    la chouette effraie

    la chouette effraie

    la chouette effraie

    la chouette effraie

    la chouette effraie

    La chouette effraie mérite bien son surnom de Dame blanche. Les couleurs très claires dominent sur les parties de sa robe les plus exposées : le masque facial en forme de coeur, le dessous de ses ailes ouvertes, les pattes et le ventre gris blanc à peine piqueté de petites tâches brunâtres. C'est dans cette robe blafarde qu'elle apparaît furtivement comme un fantôme dans la lumière d'un lampadaire ou des phares de nos voitures.


    En effet, elle ne sort généralement de son gîte qu'à la tombée de la nuit et à l'aube . En cela, elle s'est adaptée aux moeurs de ses principales proies : campagnols, souris, mulots et musaraignes. S'y ajoutent occasionnellement, rats, chauve-souris, batraciens et oiseaux au repos.


    Afin de pouvoir chasser dans l'obscurité, la dame blanche, comme tous les rapaces nocturnes, possède des atouts particuliers : la vue nocturne, une ouïe extrêmement fine et le silence du vol. La position frontale des yeux et la vision binoculaire qui en découle permettent une très bonne appréciation du relief et des distances. Leur anatomie ( forme, taille et richesse de la rétine en bâtonnets ) entraîne une sensibilité à la lumière des dizaines de fois supérieure à la nôtre. Cette acuité est de plus concentrée dans un champ visuel restreint qui est compensé par une mobilité totale de la tête pouvant tourner de 270 ° sans bouger le corps.


    Effraie des clochers © John Gould
    La Dame Blanche
    © John Gould
    L'ouïe n'est pas moins perfectionnée et rend la chouette effraie capable de localiser dans la nuit profonde une proie, rien qu'à ses émissions sonores ou aux bruits, les plus faibles, de ses déplacements. La victime est perçue sans entendre elle-même son prédateur dont les battements d'ailes sont silencieux. Cette parfaite discrétion du vol est imputable à des structures particulières des plumes.

     


    Essentiellement crépusculaire, la chasse de cet oiseau, à l'affût et surtout en vol, est rarement observable. Dans sa quête de nourriture, il se déplace pourtant sur plusieurs km à faible hauteur au-dessus de champs, prairies, haies et vergers suivant des itinéraires souvent réguliers, parcourus lentement, ailes souples, et entrecoupés de pirouettes ainsi que de brefs battements sur place lorsqu'une proie est perçue.


    Cependant la chouette effraie n'est pas inconnue du public. Fascinante, elle est beaucoup représenté en images, en statuettes et en photos prises à son gîte qui se situe dans les granges et les remises, les combles des vieilles bâtisses et des clochers. Le fait d'apprécier particulièrement ces derniers, lui valent également d'être appeléeeffraie des clochers. Il lui faut un coin couvert et tranquille, situé à une bonne hauteur et pourvu d'une entrée dégagée. Ce rapacenocturne, comme aucun autre, a lié son existence à celle de l'homme et de ses édifices.


    Effraie des clochers © Pascal Dubois
    Effraie des clochers © Pascal Dubois
    Autrefois, dans les campagnes, ces paisibles et très utiles « locataires « étaient fréquemment tués par superstition. On les crucifiait sur les portes de granges pour éloigner de prétendus esprits . Aujourd'hui , ils dérangent encore certaines personnes par leurs chuintements sonores, leur plainte aigre en vol et les pelotes de débris inconsommables rejetées dans le gîte après la digestion des proies avalées entières le plus souvent. Dans nos cadres de vie compulsivement nettoyés, ripolinés et aseptisés, un petit coin pas absolument propre, est souvent mal supporté. Les hirondelles des fenêtres sont également victimes, ça et là, de cet excès.


    Commune et répandue en Lorraine dans le passé, cette espèce a vu ses effectifs baisser depuis des années. Les vieilles granges agricoles disparaissent ou sont transformées, les ouvertures de clochers sont en grand nombre grillagées contre les pigeons, les rongeurs trop systématiquement éliminés par empoisonnement. La circulation routière fait le reste en tuant beaucoup de ces chouettes volant bas au cours de leur chasse qui les oblige à traverser de nombreuses routes. Occasionnellement, ils peuvent également succomber à un manteau neigeux prolongé. Leur aptitude à accumuler une réserve de graisse est limitée et ne permet pas de supporter un jeûne de plus de neuf jours.


    En regard de cette évolution regrettable touchant ce rapace si attachant pour nous et si attaché à nous, les divers groupes de la LPO en Moselle ont décidé une nouvelle campagne de recensement des gîtes existants et d'installation de nichoirs nouveaux en comptant sur l'aide et la bienveillance des propriétaires ou gestionnaires de bâtiments et édifices concernés ou appropriés.

     

     


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  • bonjour !!!

    mes amies et amis 

    bisous

    merci a sonnette

     


    7 commentaires
  • le craquelin

    La tradition des Craquelins de Saint-Malo se perpétue depuis 1923.

    La recette n'a pas varié, car il s'agit de garder toute son authenticité au produit.

    Héritier des procédés d'échaudage, le craquelin est un petit pain soufflé de grande tradition bretonne, craquant sous la dent et fondant en bouche.

    Nos craquelins sont composés d'ingrédients simples (sans colorant, ni conservateur) et choisis avec soin : farine de froment sélectionné par notre meunier, oeufs entiers, lait, extrait de malt auxquels on peut ajouter du sucre.

    La fabrication des échaudés fait appel, avant cuisson au four, à une phase de trempage dans l'eau bouillante, l'échaudage.

    C'est cette spécificité de cuisson qui donne au craquelin sa forme concave si caractéristique.

     

    A tartiner ou à garnir pour les tous moments importants de la vie : petit déjeuner, apéritif et goûter.
    Craquez pour un plaisir léger.

     

    le craquelin

    le craquelin se mange 

    avec du beurre ,de la confiture

    ou de la pate a chocolat

    le craquelin

    il peut aussi se manger 

    avec du boursin a l'ail

    pour l'apéritif

    le craquelin

    je vous ssouhaite un bon vendredi

    et un bon wek-end 

    a lundi

    le craquelin

     


    27 commentaires
  • bonjour !!!

    je pense que beaucoup

    d'entre vous 

    mes amies

    allez reconnaitre

    cet objet

    le tricotin

    le tricotin

    ma grand -mére m'avait fait ce beau cadeau

    le tricotin

    de trés jolis tricotins

    le tricotin

    un joli petit sac

    le tricotin

    petite chouette

    le tricotin

    petit manuel de modéles d'animaux

    le tricotin

    et une jolie souris 

    le tricotin

    et voici la laine 

    pour effectuer ces jolis modéles

    bon jeudi 

    bisous


    16 commentaires



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